L’exposition que propose Jean-Marie Mahieu témoigne de la synthèse qu’il réalise entre son attachement au Borinage, son intérêt et sa rencontre avec les cultures du monde. « Pour savoir où l’on va, il faut comprendre où l’on vit » dit-il.
Par métamorphose lente, il explore des lieux signifiants de sa mémoire, des lieux-dits qui résonnent encore des nombreux événements industriels et sociaux qui s’y sont déroulés, des endroits où le sens « affleure à la surface du sol comme les veines du charbon ».
Cette exposition a lieu parallèlement à celle consacrée à Vincent van Gogh et le Borinage, événement majeur de Mons 2015. Les deux manifestations ont bien entendu un principal point commun : dans les deux cas, le Borinage a déterminé le devenir artistique de ces deux hommes.
(Extraits du dossier de presse)
L’exposition que propose Jean-Marie Mahieu témoigne de la synthèse qu’il réalise entre son attachement au Borinage, son intérêt et sa rencontre avec les cultures du monde. « Pour savoir où l’on va, il faut comprendre où l’on vit » dit-il.
Par métamorphose lente, il explore des lieux signifiants de sa mémoire, des lieux-dits qui résonnent encore des nombreux événements industriels et sociaux qui s’y sont déroulés, des endroits où le sens « affleure à la surface du sol comme les veines du charbon ».
Cette exposition a lieu parallèlement à celle consacrée à Vincent van Gogh et le Borinage, événement majeur de Mons 2015. Les deux manifestations ont bien entendu un principal point commun : dans les deux cas, le Borinage a déterminé le devenir artistique de ces deux hommes.
(Extraits du dossier de presse)